Je brule de tes mos cochons,
Je brule d'imaginer tes doigts me toucher,
Je brule de ne voir plus que toi,
Je brule de te posseder,
Je brule de te prendre meme si tu dis non,
Je brule de pouvoir crier mon plaisir sur les toits.
Je me brule de penser a toi,
Je me brule de ne penser encore qu'a toi,
Tant de chaleur en moi,
Si vite disparue, car seul il fait si froid.
Toi qui merite mes hardeurs,
Je te parles du bout de mon univers,
En esperant que mes desirs touchent tes rondeurs,
Et qu'ensemble nous puissions nous regarder sans pudeur,
et voir quelqu'un qui desirs sans remords,
qui aime sans regrets,
et donne sans vouloir recevoir.
La folie de la chair m'etouffe,
car je n'ai pas encore la chance,
de sentir le choc de nos corps,
ou le doux souffle de tes soupirs.
Dors bien ou que tu sois,
dors bien qui que tu sois.
3 commentaires:
Ouin ta de belle penser mon Dan =P
Sublime. Vraiment remplit de chaleur intense tes mots...
Je te souhaite tellement de trouver l'oreille à qui les dire de vive voix.
:)
Courage Dan... cé cool ce que t'as écrit. ;) Take care.
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